Du boulanger au boucher !!
Décidément, on affectionne les 21 de mois chez les « Solutionneux ». 21 février, 21 mai, des dates mythiques, certainement communiquées depuis l’autre côté de l’Atlantique par les grands marabouts franc-maçons du « tandem ivoiro-burkinabé de la mort » : Sorrow – Drame Man. On peu facilement imaginer les exigences de ces « génies » de « l’eau-delà » (de l’Atlantique). Certainement pas des moutons bleus, ni des cabris chauves n’ayant jamais brouter de l’herbe verte, ou encore de la salive de cafards diabétiques, mais des choses bien plus facile à acquérir et (aussi) à céder par l’apposition d’une simple signature : ressources minières et minérales, matières premières, ainsi que la garantie d’une exclusivité sur tous les contrats d’exploitation (port, pétrole, etc.).
Retour donc sur cette fameuse révolution …
N’ayant de toute évidence pas gagné les élections de décembre 2010, ne réussissant pas à faire plier Laurent Gbagbo par les menaces, intimidations et ultimatums de tous genres, et surtout à cours de stratégie « post-électorale », il a donc fallu improviser du côté de l’Hôtel du Golf. C’est alors, qu’après (brève) réflexion, Sorrow Kigbafory, aura cette (palpitante) illumination : organiser une révolution à ivoirienne ; Révolution dite : « Gbagbo, sort au dehors », mais officiellement baptisée « Orange » (la célébrissime couleur ADOboy et ADOgirl – Coïncidence hein ?).
Contrairement à la révolution de jasmin, sa demi-soeur (adoptive), la révolution (de maïs) de Sorrow et Drame Man, elle, a une touche plus « exotique » : elle est déclenchée par des seigneurs de la guerre en soif de légitimité. Pour preuve, le lieu de lancement de cette opération dite d’envergure n’est autre que la ville de Bouaké, devenue depuis septembre 2002, la capitale de l’État parallèle du Burk-ivoire, zone de négoce et de trafics de tous genres.
Prévu pour le 19 février 2011 au stade de Bouaké, ce lancement officiel n’aura jamais lieu. Les raisons : la révolution n’a pas de cause, pis, elle manque de militants. Sorrow lui même évoquera des raisons de santé (un petit palu imaginaire là) pour ne pas s’y rendre, question d’éviter la honte d’un fiasco retentissant.
Parlant de fiasco, la tribu à Drame Man n’en est pas à son premier. Avant même la « révolution orange », ce « comité de soutien indéfectible aux intérêts du père colonisateur » nous avait prescrit une première gélule, dénommée « opération pays mort », comme sa première « solution » post-électorale.
En effet, Le fan-club à Ni-colas avait, à deux (2) reprises, lancé un appel à la désobéissance civile. La première fois, en décembre 2010, après la tentative « d’installation » forcée du DG « Rhdp » de la Radiodiffusion Télévision Ivoirienne (Rti). Missié Sorrow K. G. depuis la primature de la République du Golf, avait exigé que les fonctionnaires et agents de l’État de la République de Côte d’Ivoire arrêtent (tout à coup, soudain et brusquement) toute collaboration avec le gouvernement « illégal » de Laurent Gbagbo. Réaction de la « communauté nationale » : les margouillats étaient en poste à la cité administrative, les vendeuses de tra-tra aux abords des rues, les sogo-tiguis ont « vendu viande », les pick-pockets ont continué de faire disparaître les bédous dans le bus, le marché d’adjamé était gbé, les bandjidromes et kisoques PMU n’en parlons même pas.
Sur ce, pour éviter de perdre la face, le directoire de la confrérie Rhdp et ses tentacules, notamment dans le domaine des transports, a trouver le prétexte de « fêtes de Noël et de Nouvel an » pour lever le mot d’ordre (ah, quand c’est dur il faut improviser hein !).
L’opération sera ensuite remise sur la table le 18 janvier 2011 … mais avec les même résultats. On décide alors du côté des jardins du Golf de prescrire aux ivoiriens une forte dose de « Quinimax », de quoi immobiliser, une fois pour toute, cet « communauté nationale » entêtée et insoumise aux appels répétés de son président assermenté « par courrier ». Les effets secondaires du sérum dévastateur se feront vite sentir : asphyxie économique, sanctions de tous genres, et paralysie des approvisionnements en provenance de l’Union Européenne.
Cependant, contre toute attente, le patient ivoire semble toujours avoir le moral (notamment après les matchs de Manchester City [Asec Mimos - Plus Plus] et Chelsea [l’équipe nationale ivoirienne nouvelle formule]). Pis, il organise un gigantesque rassemblement en soutien à son Calife sur la place de la République (Ah, combien de fois Sorrow et Drame Man auraient souhaité que cela soit en leur honneur … [Soupir !]).
Là, c’en est trop ! Drame Man et ses amis de la communauté internationale décident alors d’achever le patient, ce vieil éléphant malade, à qui ni (le beau) Blèz, ni les autres dictateurs Africains n’ont réussi à faire avaler la pilule du lendemain (des élections), sensée le soulager de sa crise d’hémorroïde aiguë, survenue depuis le 19 septembre 2002.
C’est ainsi que l’opération « pays mort » s’est mutée en opération « mort au pays » ; Et cette « révolution armée » (il semble qu’aujourd’hui une révolution par les armes ça ne s’appelle plus un coup d’État), est partie une fois de plus de Bouaké. La suite tout le monde la connaît : le pays mourut.
Drame Man....
Retour donc sur cette fameuse révolution …
N’ayant de toute évidence pas gagné les élections de décembre 2010, ne réussissant pas à faire plier Laurent Gbagbo par les menaces, intimidations et ultimatums de tous genres, et surtout à cours de stratégie « post-électorale », il a donc fallu improviser du côté de l’Hôtel du Golf. C’est alors, qu’après (brève) réflexion, Sorrow Kigbafory, aura cette (palpitante) illumination : organiser une révolution à ivoirienne ; Révolution dite : « Gbagbo, sort au dehors », mais officiellement baptisée « Orange » (la célébrissime couleur ADOboy et ADOgirl – Coïncidence hein ?).
Contrairement à la révolution de jasmin, sa demi-soeur (adoptive), la révolution (de maïs) de Sorrow et Drame Man, elle, a une touche plus « exotique » : elle est déclenchée par des seigneurs de la guerre en soif de légitimité. Pour preuve, le lieu de lancement de cette opération dite d’envergure n’est autre que la ville de Bouaké, devenue depuis septembre 2002, la capitale de l’État parallèle du Burk-ivoire, zone de négoce et de trafics de tous genres.
Prévu pour le 19 février 2011 au stade de Bouaké, ce lancement officiel n’aura jamais lieu. Les raisons : la révolution n’a pas de cause, pis, elle manque de militants. Sorrow lui même évoquera des raisons de santé (un petit palu imaginaire là) pour ne pas s’y rendre, question d’éviter la honte d’un fiasco retentissant.
Parlant de fiasco, la tribu à Drame Man n’en est pas à son premier. Avant même la « révolution orange », ce « comité de soutien indéfectible aux intérêts du père colonisateur » nous avait prescrit une première gélule, dénommée « opération pays mort », comme sa première « solution » post-électorale.
En effet, Le fan-club à Ni-colas avait, à deux (2) reprises, lancé un appel à la désobéissance civile. La première fois, en décembre 2010, après la tentative « d’installation » forcée du DG « Rhdp » de la Radiodiffusion Télévision Ivoirienne (Rti). Missié Sorrow K. G. depuis la primature de la République du Golf, avait exigé que les fonctionnaires et agents de l’État de la République de Côte d’Ivoire arrêtent (tout à coup, soudain et brusquement) toute collaboration avec le gouvernement « illégal » de Laurent Gbagbo. Réaction de la « communauté nationale » : les margouillats étaient en poste à la cité administrative, les vendeuses de tra-tra aux abords des rues, les sogo-tiguis ont « vendu viande », les pick-pockets ont continué de faire disparaître les bédous dans le bus, le marché d’adjamé était gbé, les bandjidromes et kisoques PMU n’en parlons même pas.
Sur ce, pour éviter de perdre la face, le directoire de la confrérie Rhdp et ses tentacules, notamment dans le domaine des transports, a trouver le prétexte de « fêtes de Noël et de Nouvel an » pour lever le mot d’ordre (ah, quand c’est dur il faut improviser hein !).
L’opération sera ensuite remise sur la table le 18 janvier 2011 … mais avec les même résultats. On décide alors du côté des jardins du Golf de prescrire aux ivoiriens une forte dose de « Quinimax », de quoi immobiliser, une fois pour toute, cet « communauté nationale » entêtée et insoumise aux appels répétés de son président assermenté « par courrier ». Les effets secondaires du sérum dévastateur se feront vite sentir : asphyxie économique, sanctions de tous genres, et paralysie des approvisionnements en provenance de l’Union Européenne.
Cependant, contre toute attente, le patient ivoire semble toujours avoir le moral (notamment après les matchs de Manchester City [Asec Mimos - Plus Plus] et Chelsea [l’équipe nationale ivoirienne nouvelle formule]). Pis, il organise un gigantesque rassemblement en soutien à son Calife sur la place de la République (Ah, combien de fois Sorrow et Drame Man auraient souhaité que cela soit en leur honneur … [Soupir !]).
Là, c’en est trop ! Drame Man et ses amis de la communauté internationale décident alors d’achever le patient, ce vieil éléphant malade, à qui ni (le beau) Blèz, ni les autres dictateurs Africains n’ont réussi à faire avaler la pilule du lendemain (des élections), sensée le soulager de sa crise d’hémorroïde aiguë, survenue depuis le 19 septembre 2002.
C’est ainsi que l’opération « pays mort » s’est mutée en opération « mort au pays » ; Et cette « révolution armée » (il semble qu’aujourd’hui une révolution par les armes ça ne s’appelle plus un coup d’État), est partie une fois de plus de Bouaké. La suite tout le monde la connaît : le pays mourut.
Drame Man....