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Alassane Ouattara investi président NON ELU : FAUX ET USAGE DE FAUX POUR FAIRE DU VRAI !!!
La dernière déclaration officielle du Président du Conseil Constitutionnel est aussi grotesque que rocambolesque au vue des délibérations précédentes du scrutin Présidentiel Ivoirien. Se muant en virtuose de l’alpinisme du non-droit, il a tenté de légitimer le coup d’état militaire du chef de guerre Alassane Ouattara. Chose quasi impossible face à la violence de la vérité. Cette prétendue investiture de Ouattara est un FAUX ET USAGE DE FAUX POUR FAIRE DU VRAI. La complicité flagrante de l’ONU confirme la thèse du complot internationale dénoncé par le Président Laurent Gbagbo.
Livrons nous à l’exercice suivant ; Confrontons le « courrier transmis par le Président du Conseil Constitutionnel au candidat malheureux des dernières élections » et la déclaration qui vient par la suite proclamer ce dernier « Président de la République » MAIS Président NON ELU.
Livrons nous à l’exercice suivant ; Confrontons le « courrier transmis par le Président du Conseil Constitutionnel au candidat malheureux des dernières élections » et la déclaration qui vient par la suite proclamer ce dernier « Président de la République » MAIS Président NON ELU.
Nous vous livrons des morceaux du texte de la déclaration du Professeur Yao N’dré qui fait du chef rebelle Alassane Ouattara le nouveau Président Ivoirien.
« […] Vu les résultats PROVISOIRES du deuxième tour de l`élection présidentielle proclamé par la Commission électorale indépendante le 2 décembre 2010
(Courrier du CC à Ado : La Commission électorale Indépendante n’ayant pu donner les résultats provisoires du scrutin, elle s’est retrouvée légalement dessaisie de ses pouvoirs en la matière)
[…] Considérant qu`au terme des articles 32 et 94 de la Constitution, le Conseil constitutionnel contrôle la régularité des opérations du président de la République, statue sur les contestations y relatives et en proclame les résultats définitifs.
Considérant que, conformément à l`article 59 du code électoral nouveau du code électoral, la Commission électorale indépendante a, le 2 décembre 2010, proclamé les résultats PROVISOIRES du second tour du scrutin et désignait M. Alassane Ouattara vainqueur dudit scrutin (Courrier du CC à Ado : Les résultats provisoires donnés de façon solitaire, en l’absence des membres de la commission électorale et des représentants des candidats, par le président de la Commission électorale indépendante le jeudi 2 Décembre 2010, portent gravement atteinte aux dispositions du Code électoral)
CONSIDERANT QUE LE 3 DECEMBRE 2010, PAR DECISION N° CI 2010- EP 340312 CC SG, LE CONSEIL CONSTITUTIONNEL A PROCLAME LES RESULTATS DEFINITIFS DU SCRUTIN PRESIDENTIEL DU 28 DECEMBRE 2010 ET DESIGNE M. LAURENT GBAGBO, PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE DE COTE D`IVOIRE
Considérant en outre que le 3 décembre 2010, le Représentant spécial du Secrétaire général des Nations Unies pour la Côte d`Ivoire a certifié les résultats PROVISOIRES du second tour de l`élection présidentielle tels que proclamés par le président de la Commission électorale indépendante le 2 décembre 2010 désignant M. Alassane Ouattara vainqueur de l`élection présidentielle
(Courrier du CC à Ado : Quand bien même ils auraient étés certifiés par le Représentant spéciale du Secrétaire générale de l’Organisation des Nations unis, cette certification ne doit, EN AUCUN CAS, être confondue avec la validation et la proclamation des résultats définitifs du scrutin, qui, elles, relèvent de la seule compétence du Conseil Constitutionnel)
Considérant que suite à ces proclamations contraires, une crise post- électorale s`est élevée sur les résultats du scrutin du 28 novembre 2010.
Considérant qu`en raison de la gravité de cette crise, la Communauté économique des Etats de l`Afrique de l`ouest (Cedeao) s`est saisie du dossier ivoirien et a décidé entre autres, qu`au vu des éléments en sa possession (Quels éléments ???), M. Alassane Ouattara DEVRAIT (Pourquoi ???) être considéré comme le président élu de Côte d`Ivoire[…]
Considérant que les normes et dispositions internationales (Quelles normes et dispositions internationales ???), acceptées par les organes nationaux compétents ont une autorité supérieure à celle des lois et aux décisions juridictionnelles internes sous réserve de leur application par l`autre partie.[…]
Décide :
Article 1er : le Conseil constitutionnel fait siennes les décisions du Conseil de paix et de sécurité de l`Union africaine sur le règlement de la crise en Côte d`Ivoire
Article 2 : proclame M. Alassane Ouattara président de la République de Côte d`Ivoire (PAS Président élu)
Article 3 : en raison des circonstances exceptionnelles, le Conseil constitutionnel, prend acte des décisions prises par M Alassane Ouattara, président de la République de Côte d`Ivoire et les déclare valides. Le Conseil constitutionnel invite le président Alassane Ouattara à prêter serment en audience solennelle dans les meilleurs délais (Courrier du CC à Ado : Il ressort de tous ce qui précède que seul le Président élu à l’issue du scrutin du 28 Novembre 2010, en l’occurrence Mr Gbagbo Laurent, est habileté à prêté serment)
[…]
Paul Yao N’dré - Président du Conseil constitutionnel »
Il apparait evident que depuis l’enlèvement du Président Gbagbo par les forces Française, cette frénésie de déclarations des « faiseurs de Roi » n’est qu’une comédie, une véritable mascarade d’étrangleurs du bon droit. En vérité la Côte d’Ivoire vient de subir un nouveau coup d’état militaire perpétré par la Coalition « Rebelle de Ouattara-Forces Française-Forces Onusiennes » en mission pour Nicolas Sarkozy et Barack Obama.
Alassane Ouattara tente simplement fuir le chef de guerre et putschiste qu’il a toujours été dans le paysage politique Ivoirien qu’il a transformé en champ de guerre et de désolation.
Usant de violence, de menace, d’intimidation, de séquestration et d’emprisonnement, Ouattara est arrivé à obliger de grands juristes à tordre le cou au droit pour tenter de donner une face reluisante à son imposture. MAIS...
« […] Vu les résultats PROVISOIRES du deuxième tour de l`élection présidentielle proclamé par la Commission électorale indépendante le 2 décembre 2010
(Courrier du CC à Ado : La Commission électorale Indépendante n’ayant pu donner les résultats provisoires du scrutin, elle s’est retrouvée légalement dessaisie de ses pouvoirs en la matière)
[…] Considérant qu`au terme des articles 32 et 94 de la Constitution, le Conseil constitutionnel contrôle la régularité des opérations du président de la République, statue sur les contestations y relatives et en proclame les résultats définitifs.
Considérant que, conformément à l`article 59 du code électoral nouveau du code électoral, la Commission électorale indépendante a, le 2 décembre 2010, proclamé les résultats PROVISOIRES du second tour du scrutin et désignait M. Alassane Ouattara vainqueur dudit scrutin (Courrier du CC à Ado : Les résultats provisoires donnés de façon solitaire, en l’absence des membres de la commission électorale et des représentants des candidats, par le président de la Commission électorale indépendante le jeudi 2 Décembre 2010, portent gravement atteinte aux dispositions du Code électoral)
CONSIDERANT QUE LE 3 DECEMBRE 2010, PAR DECISION N° CI 2010- EP 340312 CC SG, LE CONSEIL CONSTITUTIONNEL A PROCLAME LES RESULTATS DEFINITIFS DU SCRUTIN PRESIDENTIEL DU 28 DECEMBRE 2010 ET DESIGNE M. LAURENT GBAGBO, PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE DE COTE D`IVOIRE
Considérant en outre que le 3 décembre 2010, le Représentant spécial du Secrétaire général des Nations Unies pour la Côte d`Ivoire a certifié les résultats PROVISOIRES du second tour de l`élection présidentielle tels que proclamés par le président de la Commission électorale indépendante le 2 décembre 2010 désignant M. Alassane Ouattara vainqueur de l`élection présidentielle
(Courrier du CC à Ado : Quand bien même ils auraient étés certifiés par le Représentant spéciale du Secrétaire générale de l’Organisation des Nations unis, cette certification ne doit, EN AUCUN CAS, être confondue avec la validation et la proclamation des résultats définitifs du scrutin, qui, elles, relèvent de la seule compétence du Conseil Constitutionnel)
Considérant que suite à ces proclamations contraires, une crise post- électorale s`est élevée sur les résultats du scrutin du 28 novembre 2010.
Considérant qu`en raison de la gravité de cette crise, la Communauté économique des Etats de l`Afrique de l`ouest (Cedeao) s`est saisie du dossier ivoirien et a décidé entre autres, qu`au vu des éléments en sa possession (Quels éléments ???), M. Alassane Ouattara DEVRAIT (Pourquoi ???) être considéré comme le président élu de Côte d`Ivoire[…]
Considérant que les normes et dispositions internationales (Quelles normes et dispositions internationales ???), acceptées par les organes nationaux compétents ont une autorité supérieure à celle des lois et aux décisions juridictionnelles internes sous réserve de leur application par l`autre partie.[…]
Décide :
Article 1er : le Conseil constitutionnel fait siennes les décisions du Conseil de paix et de sécurité de l`Union africaine sur le règlement de la crise en Côte d`Ivoire
Article 2 : proclame M. Alassane Ouattara président de la République de Côte d`Ivoire (PAS Président élu)
Article 3 : en raison des circonstances exceptionnelles, le Conseil constitutionnel, prend acte des décisions prises par M Alassane Ouattara, président de la République de Côte d`Ivoire et les déclare valides. Le Conseil constitutionnel invite le président Alassane Ouattara à prêter serment en audience solennelle dans les meilleurs délais (Courrier du CC à Ado : Il ressort de tous ce qui précède que seul le Président élu à l’issue du scrutin du 28 Novembre 2010, en l’occurrence Mr Gbagbo Laurent, est habileté à prêté serment)
[…]
Paul Yao N’dré - Président du Conseil constitutionnel »
Il apparait evident que depuis l’enlèvement du Président Gbagbo par les forces Française, cette frénésie de déclarations des « faiseurs de Roi » n’est qu’une comédie, une véritable mascarade d’étrangleurs du bon droit. En vérité la Côte d’Ivoire vient de subir un nouveau coup d’état militaire perpétré par la Coalition « Rebelle de Ouattara-Forces Française-Forces Onusiennes » en mission pour Nicolas Sarkozy et Barack Obama.
Alassane Ouattara tente simplement fuir le chef de guerre et putschiste qu’il a toujours été dans le paysage politique Ivoirien qu’il a transformé en champ de guerre et de désolation.
Usant de violence, de menace, d’intimidation, de séquestration et d’emprisonnement, Ouattara est arrivé à obliger de grands juristes à tordre le cou au droit pour tenter de donner une face reluisante à son imposture. MAIS...
- "Même s’il est provisoirement bafoué, le bon droit sera plus fort que le mal triomphant.
Je crois que, même au milieu du fracas des mortiers et du sifflement des balles, il y a place pour l’espoir de lendemains plus lumineux. Je crois que la justice blessée, gisant inerte dans les rues ensanglantées de nos nations, couverte de poussière et de honte, peut encore être relevée pour régner en souveraine suprême sur les enfants des hommes."
Martin Luther King